Selon des sources cédibles renseignents que l’interpéllation et l’arrestation de François Beya, conseiller spécial du chef de L’état en matière de securité soupconné d’avoir tenu des reunions secrètes pour un prétendu coup d’état n’est qu’un leurre.
François Beya a passé sa deuxième nuit dans les locaux de l’agence Nationale de renseignements (ANR).
Le conseiller spécial en matière de securité du président Felix tshisekedi a été arrêté chez lui le 5 fevrier, aux alentours de 13 heures. Les éléments de l’ANR qui ont mené cette opération, dirigée par JEAN HERVÉ MBELU BIOSHA, ont forcé l’entrée de son domicile alors qu’il se trouvait dans sa salle de bains.
Il est plutôt question d’une sommation des services secrets americains, israeliens et belges qui seraient en possession de la traçabilité des minerais à forte teneur d’uranium sortis du Katanga par son frère Christian Tshisekedi et intercepté par l’ occ et l’agence internationale de l’énergie atomique.
Il s’avere que certains conteneurs d’uranium seraient vendus en iran par Christian Tshisekedi frère du président Felix tshisekedi. Le peché de François Beya est d’avoir ordonné la sortie de ces minerais appartenant à la famille tshisekedi en complicité avec certaines autorités de l’ex Katanga alors que ces minérais étaient bloqués par les services attitrés à la frontière. Tomber en disgrâce vis à vis de ses parrains occidentaux de circonstance, les jours du régime Tshisekedi sont comptés dans les hautes sphères des puissances occidentales.
S’agissant de ce dossier sécuritaire, il serait embarrassant d’exiger la diligence à l’ANR, en attendant que toutes les données sécuritaires soient réunies avant toute option définitive.